(ORCHESTRE LA SINFONIA DE LANAUDIÈRE)
PROGRAMME GERSHWIN AU FESTIVAL INTERNATIONAL DE LANAUDIÈRE
La Sinfonia de Lanaudière a présenté un concert Gershwin d’une étonnante qualité.La masse orchestrale était somptueuse et les nombreuses interventions des premiers pupitres méritaient toutes une mention.Stéphane Laforest a confirmé là une fois de plus ses talents de chef et de musicien. D’animateur aussi, car il a parlé de Gershwin avec une réelle autorité. Claude Gingras,La Presse, Festival International de Lanaudière, 30 juillet 2012
(ORCHESTRE SYMPHONIQUE DE MONTRÉAL)
LAFOREST PLUTÔT QUE LABRÈCHE
Le meilleur de cette expérience est venue de l’OSM ,un peut à l’étroit sur la scène de Maisonneuve, mais y sonnait fort bien.Laforest a dirigé un Roméo et Juliette( de Tchaikovsky) extrêmement dramatique, il a obtenu des sonorités d’une rare finesse dans le Satie(Gymnopédie no.2) et a animé le Gershwin(Un Américain à Paris) d’un extraordinaire relief. Pour ce qui est de la musique de film de John Williams (E.T.),je laisse le commentaire au public : ovation à tout rompre, rien à ajouter.
Claude Gingras,La Presse ,Série Apéro ,Montréal,30 septembre 2009
(ORCHESTRE SYMPHONIQUE DE MONTRÉAL)
TRIOMPHE DE STÉPHANE LAFOREST ET DE L’OSM)
L’orchestre à été dirigé par son 1er chef assistant ,le maestro Stéphane Laorest qui s’est montré en pleine possession de ses moyens, énergique ,voir théâtral , celui qui est aussi le directeur artistique de La Sinfonia de Lanauduère a su gagner le public .
Hugo Lemay,HEBDO RIVE NORD,REPENTIGNY,Parc île Lebel Repentigny29juillet 2009
(ORCHESTRE SYMPHONIQUE DE MONTRÉAL)
UN CONCERT FULGURANT DE L’OSM
L’orchestre symphonique de Montréal a été à la hauteur de sa réputation, en livrant un concert fulgurant, dirigé de main de maître par le chef Stéphane Laforest. Musiciens ,solides , chef survolté et programme vendeur ont été la recette du succès .
Steve Bergeron,LA TRIBUNE,SHERBROOKE , 23 avril 2004
(ORCHESTRE SYMPHONIQUE DE QUÉBEC)
LAFOREST MÈNE LA BARQUE
Solide,redressé, le nez dans le vent , bien haut au-dessu de la partition, les yeux scrutant la scène, comme pour l’englober toute entière d’un seul regard.Il avait la stature d’un general.Le public aime beaucoup Stéphane Laforest. Ce gars là est vrai et il est aussi inspirent .Hier soir, presque tout dans son programme a plus aux gens. Le Meastro a attaqué avec un capricco espagnol coloré et ravissant. La cohesion de l’ensemble ,la precision du rythme, l’ambiance générale très détendue, tout ça a été très apprécié .Dans le troisième concerto pour piano de Prokofiev, chef et soliste, chacun savait exactement où il s’en allait. Pas la moindre faille dans les changements de tempo. Dans le capriccio Italien de Tchaikovsky,le chef et l’orchestre ont réussi à livrer une interpretation évocatrice et convaincante.
Richard Boivert,LE SOLEIL,QUÉBEC,13 octobre 2005
(LA SINFONIA DE LANAUDIÈRE)
L’EXCELLENTE SINFONIA DE LANAUDIÈRE . La Sinfonia de Lanaudière joue juste, il apporte beaucoup de vie à son discours,et sa sonorité est toujours belle.À l’origine de cet excellent résultat il faut évidemment compter le travail et l’attention du chef qui possède un sens indéniable du relief et des nuances.
Claude Gingras,LA PRESSE,MONTRÉAL.9 juillet 1997 .
(LA SINFONIA DE LANAUDIÈRE)
SÉVÈRE ET RICHE SINFONIA
On s’étonne de la qualité des sept oeuvres réunies , et pourtant d’origines très diverses.Toutes les exécutions furent également de cette qualité.De la prestation entière,il faut d’abord souligner la justesse,et ce à tout les niveaux.À cette justesse se greffait une sonorité toujours efficace,dans la continuité rythmique et dans la grande ligne .
Claude Gingras,LA PRESSE,MONTRÉAL.3 mai 2002 .
LA SINFONIA DE LANAUDIÈRE)
MAESTRO, VOUS ÊTES PASSÉ MAÎTRE DANS L’ART… DE FAIRE PLAISIR
Cette soirée avait tout pour elle: La météo, les artistes et un Maestro qui visiblement a développé une nouvelle forme d’art: celle de faire plaisir. Chaque fois que j’assiste à un concert de La Sinfonia de Lanaudière, je suis toujours agréablement étonnée de voir à quel point Maestro Laforest à le don de valser les divers repertoires musicaux et de démystifier la musique orchestrale.
Marie-Claude Julien,directrice,Hebdo Rive-nord,Repentigny,11 août 2010
(ORCHESTRE LA SINFONIA DE LAUDIÈRE)
CONCERTS POPULAIRES DE MONTRÉAL;
AGRÉABLE SOIRÉE AVEC JOHANN STRAUSS
Stéphane Laforest et La Sinfonia de Lanaudière assuraient la partie musicale.
La soirée fut fort réussie et fort agréable.Laforest servit au public,quelques pitreries fort appréciées.Avant tout,il communiqua à ses musicians le plaisir qu’il prenait à cette musique d’une inépuisable invention mélodique, jouant généreusement du rallentando, comme elle le permet. L’esécution fut presque toujours très soignée.
Claude Gingras,La Presse,29 juin 2012
(Orchestre La Sinfonia de Lanaudière)
La Sinfonia de Lanaudière soulève 20,000 personnes
Concert Parc L’île Lebel de Repentigny
Grandiose. Tel est le mot qui convient à cette soirée passée à l’île Lebel, où les talentueux musiciens de la Sinfonia de Lanaudière étaient réunis, accompagnés de Marc Hervieux, Brigitte Boisjoli, Maxime Landry et Martin Fontaine afin de livrer un concert pop symphonique magique qui a soulevé la foule.Ils ont été 20 000 à assister à ce concert gratuit donné le mercredi 18 juillet à Repentigny et, encore une fois, la Sinfonia de Lanaudière a su s’attirer une foule record. Parmi ces 20 000 personnes, pas une n’est restée assise tout au long de la soirée. À plusieurs reprises, lors des prestations des différents artistes, les spectateurs se levaient bien avant la fin de la chanson afin d’applaudir le magnifique amalgame des chanteurs pop et des musiciens classiques dirigés par la main de maître du chef d’orchestre Stéphane Laforest.
Valérie Houle,Hebdo Rive-nord 19 juillet 2012
(ORCHESTRE LA SINFONIA DE LANAUDIÈRE)
LA PLUIE GÂCHE LA SOIRÉE LYRIQUE
La soirée s’annonçait magique, avec la présentation de la soirée lyrique à l’Agora de Québec ,mais dame nature en a décidé autrement. On a senti des les premières notes de Carmen, entamées par La Sinfonia sous la direction de Stéphane Laforest, la pureté du son et l’exécution étaient superbes. La Sinfonia a ensuite été brillante dans les extraits cinématographiques de l’opéra Porgy and Bess de Gershwin, plongeant les spectateurs dans l’univers des films de Woody Allen.
Yves Leclerc,Journal de Québec ,5 août 2012
(ORCHESTRE SYMPHONIQUE DE SHERBROOKE)
“MAGISTRALE FIN DE SAISON”
Les choses vont vraiment très bien pour l’Orchestre Symphonique de Sherbrooke. Cela ne se perçoit pas uniquement que sur le nombre d’abonnements, qui a dépassé les 800 cette année .Cela s’entendait parfaitement lors du dernier concert de la 67ième saison.L’OSS a livré l,énorme 5ième symphonie de Dimitri Chostakovitch.Il était audacieux inclure au meme concert Pachelbel,Schumann,et Chostakovitch,ce triumvirat s’est révélé judicieux .
Le chef était très fier après la dernière note et il avait raison.L’OSS prouve encore avec cette magistrale finale qu’il évolue désormais dans les ligues majeures.Si jamais le chef Laforest decide de renouveler de nouveaux defies à la fin de son contrat,il pourra dire mission accomplie à Sherbrooke .
Steve Bergeron,La Tribune,Sherbrooke,15 mai 2006
(ORCHESTRE SYMPHONIQUE DE QUÉBEC)
L’OSQ REDÉCOUVRE “SCHÉHÉRAZADE”
Une atmosphère un peu inhabituelle s’est mise à flotter sur la scène de Louis-Fréchette,hier soir,quand l’orchestre a joué Schéhérazade.Avec le chef Stéphane Laforest en parfais contrôle de la partition,on a pu avec confiance se laisser aller au pur plaisir de l’écoute,sans retenue, grisé par les grandes envolées, les oreilles pleines de sonorités généreuses. Dans la salle, il était tout à fait possible devant un tel spectacle de ressentir une ivresse, voire une certaine volupté. C’était une exécution nette et bien serrée, l’ensemble de l’effectif orchestral a fait sentir sa présence et son implication.
Richard Boisvert,Le Soleil,Québec,décembre 2004
(ORCHESTRE SYMPHONIQUE DE SHERBROOKE)
VOYAGE EN ASIE
L’orchestre symphonique de Sherbrooke n’aurait pu clore plus bellement sa saison. Le chef Stéphane Laforest a dirigé ses troupes dans un Schéhérazade en béton armé,et il a mis l’auditoire dans sa poche grâce à son invité d’honneur,le joueur de Erhu George Gao. Dans le Schéhérazade,le chef a pesé fort sur les contrastes,ce qui fut du meilleur effet.
Steve Bergeron,La Tribune,Sherbrooke,avril 2013.
(ORCHESTRE LA SINFONIA DE LANAUDIÈRE)
LA NOSTALGIE DU BALLROOM,Les concerts populaires de Montréal
Marc Hervieux était l’unique soliste de ce programme de deux heures auquel participaient La Sinfonia de Lanaudière (12 cordes et un big band de jazz de 15 musiciens).Premier chef assistant de Kent Nagano à l’OSM,Stéphane Laforest dirigea avec une égale aisance cette Sinfonia et le big band rassemblé pour l’occasion.Hervieux et Laforest ont donné là ce qu’on appelle dans le métier “Un bon Show”.Ils semblaient prendre un immense plaisir à ce qu’ils faisaient et l’enthousiaste réponse du public fut celle qu’ils souhaitaient.
Claude Gingras,La Presse,1 juillet 2011
(ORCHESTRE SYMPHONIQUE DE QUÉBEC)
IMMERSION MOZARTIENNE
La première moitié du concert appartenait au chef invité Stéphane Laforest,il sut imprimer à l’orchestre une unité de chaque instant. Ce Stéphane Laforest a une gestuelle intéressante,à la fois sobre et ample,faisant l’économie de papillonnements inutiles,et avec un sens dramatique certain.
Régis Tremblay , LE SOLEIL , QUÉBEC , 26 septembre 2001
(ORCHESTRE SYMPHONIQUE DE SHERBROOKE)
UN COUP DE TONNERRE ÉCLATANT DE L’ORCHESTRE SYMPHONIQUE DE SHERBROOKE DANS LA 9IÈME DE BEETHOVEN.
Stéphane Laforest excelle particulièrement dans les passages fougeux .Ce qui n’enlève rien à ses mouvements lents.
Steve Bargeron , LA TRIBUNE ,SHERBROOKE , 17 avril 2000.
(ORCHESTRE SYMPHONIQUE DE SHERBROOKE)
LORTIE ÉBLOUIT, LAFOREST SÉDUIT!
De sa stature imposante, son enthousiasme chaleureux rend sa communication verbale et musicale avec l’orchestre “accessible”.Il possède la gestuelle des grands chefs .
Francine Laberge-Gauvreau , LA NOUVELLE DE SHERBROOKE , 16 octobre 1998
(THUNDER BAY SYMPHONY ORCHESTRA)
BEST CONCERT OF THE YEAR
Stéphane Laforest demonstrated mastery and control during his performance.At no time during the entire performance was there even a hint of indecision from Laforest’s hand.There was never any hesitation or ensemble problems from the orchestra,who gave there utmost in support of Laforest.Laforest’s deep understanding of both these works (Schubert and Schumann symphonies,came across in his total command of dynamics,tempo and expression in the service of the music.Laforest exhibited a commanding presence rarely seen in the less formal settings of thr Pops and Candlelight Series where his naturally gregarious nature suits those settings.
Paul Acree , THE CHRONICLE-JOURNAL , THUNDER BAY , 29 febrery1996
(Orchestre Symphonique de Québec )
SOUS UN CIEL ANGLAIS
Un dépaysement qui a su plaire à tous . Allait suivre la symphonie 104 “Londre “ de Joseph Haydn.Sans l’ombre d’un doute,cette oeuvre grandiose,avec ses mouvements tous contrastés et tous imprégnés de maturité,permi au chef Stéphane Laforest de tirer le meilleur parti d’une formation inspirée.L’orchestre a fait feu de tout bois et ébloui l’assistance.
Régis Tremblay , LE SOLEIL , QUÉBEC , 5 mai 2005
(ORCHESTRA LONDON CANADA)
CONDUCTOR ENTERTAINS , DELIVERS CRIPS CONCERT.
From the moment conductor Stéphane Laforest uttered his first,out-of-breath greeting of the evening,one sensed this Orchestra London concert was going to be a bit out of the ordinary.Clearly buoyed by Laforest’s enthusiasm,the orchestra delivered a thrillng rendition of Shostakovich ‘Ninth Symphony.”
Ian Gillespie , THE LONDON FREE PRESS , november 1999.
(NOVA-SCOTIA SYMPHONY)
CONDUCTOR LAFOREST BRINGS BEST OUT IN SYMPHONY.
Laforest asked for and was given some of the most beautifully balanced ensemble work the orchestra has produced.Laforest balanced them so well that soloist and ensemble orbited each other like twin planets.
Stephen Pedersen , THE CHRONICLE-HERALD , HLIFAX , february 18, 1999
(ORCHESTRE SYMPHONIQUE DE LAVAL)
ROBERT CHARLEBOIS ET L’ORCHESTRE SYMPHONIQUE DE LAVAL ATTIRENT UNE FOULE RECORD .
Le chef invité Stéphane Laforest avait préparé un programme de choix qui a su rallier à la fois les mélomanes et les profanes.Visiblement très à l’aise au pupitre de l’OSL.Maestro Laforest s’est acquitté de sa tâche avec beaucoup de fougue et de brio démontrant aux lavallois qui assistent à ce concert qu’ils avaient toutes les raisons d’être fiers de leur orchestre symphonique,M.Laforest a livré une solide prestation qui n’a laissé personne indifférent.
Louise Dussaut , CONTACT-LAVAL OUEST , 26 juin 1995
(THUNDER BAY SYMPHONY ORCHESTRA)
MAESTRO LAFOREST DELIGHTS AUDIENCE.
Laforest ‘s style is wellsuited to Broadway ; both the conductor and the music are full of emotion,humor and a flair for melodrama.Yet Laforest’s gesture did not come off as cynical in the slightest.Thunder Bay will gain a talented conductor and a real trooper in the struggle to keep this orchestra alive.
Paul Acree , THE CHRONICLE-JOURNAL, THUNDER BAY , november 27 1995
(ORCHESTRE SYMPHONIQUE DE QUÉBEC)
HOPE ET L’ORCHESTRE SYMPHONIQUE DE QUÉBEC ENCHANTENT.
Une ambiance exceptionnelle pour l’OSQ , habilement dirigé par l’assistant-chef en résidense ,M.Stéphane Laforest,qui a lui aussi fait preuve d’humour,pour le plus grand plaisir des spectateurs.
Denise Martel , LE JOURNAL DE QUÉBEC , 26 janvier 2000 .
(THUNDER BAY SYMPHONY ORCHESTRA)
GILBERT AND SULLIVAN SHOW ANOTHER POPS SUCCESS .
Laforest is an excellent accompanist as he again proved during this performance .Together with soloists,the orchestra and the TBSO Chorus,Laforest once again presided over a successful concert .
Paul Acree , THE CHRONICLE-JOURNAL , THUNDER BAY , mars 1995
(ORCHESTRE SYMPHONIQUE DE VILLE MONT-ROYAL)
In the second half , Stéphane Laforest led the orchestra with brillance through Alexander Borodine’s Symphony no.2
Tristan Roy,The Town of Mont-Royal Weekly Post,18 novembre 1993
(ORCHESTRE SYMPHONIQUE DE LA MONTÉRÉGIE)
“UNE FIN DE SAISON ENLEVANTE À L’OSMONT
Le chef invité , M.Stéphane Laforest a dirigé l’inoubliable “An American in Paris “ de main de maître,qui exige de l’orchestre une attention plus que soutenue sur le plan du rythme et des nuances .
LE COURRIER DU SUD,LONGEUIL,17 avril 1994
(LE JEUNE ORCHESTRE DU QUÉBEC , TOURNÉE EN FRANCE)
VIVE LE QUÉBEC SYMPHONIQUE
Stéphane Laforest qui, assurément, a su tirer le meilleur parti de cette sympathique phalange de jeunes musiciens issus de Conservatoire de Montréal.M.Laforest conduit ses jeunes musiciens avec fermeté et sens des contrastes,signant une éxécution tout à fait probante de cette page(symphonie no.4,F.B.Mendelssohn),prolongeant l’esprit des symphonies de Haydn
Pierre Boitet,LE PROGRES,BOURG,3 février 1997 (France)
(LE JEUNE ORCHESTRE DU QUÉBEC,TOURNÉE EN FRANCE)
LA FERVEUR DE LA JEUNESSE”
Stéphane Laforest le dirige en maître. Personnalité marquante de monde musical canadien, il est chef invité pour cette tournée.Il s’est senti d’emblée à l’aise , dans ce jeune groupe généreux et consciencieux,et a su faire s’épanouir les dons de chacun,notamment la qualité de leur timbre .
MIDI LIBRE,27 janvier 1997,SÈTE, (France)
(THUNDER BAY SYMPHONY ORCHESTRA)
FINAL TBSO MASTERWORKS A TRIUMPH
Conductor Stéphane Laforest and the string core played the suite with crisp precision and with an obvious understanding of both the musical texture and the emotional content . Laforest’s approach to Vivaldi (Gloria),like Stokowski’s to Bach is romantic,with broad dynamic contrasts and pointed final ritardandi.
Rita Ubriaco,THE CHRONICLE-JOURNAL,THUNDER BAY,may 1998
(Thunder Bay Symphony Orchestra)
NUTCRACKER HAILED AS HOLIDAY GIFT
The Thunder Bay Symphony Orchestra,performing live.Under the direction of Stéphane Laforest,the symphony performed magnificently.The tempo,the clarity,the richness of sound was the centre,the essential core for what we were experiencing in this production.
Bravo TBSO and maestro Laforest .
Michael Sobota,THE CHRONICLE-JOURNAL,THUNDER BAY,December 1998
(THUNDER BAY SYMPHONY ORCHESTRA)
TBSO OPENS ON HIP NOTE
Maestro Laforest did a capable job of supporting Bennett,using the orchestra to compliment the band .All in all,Jeans and Classicswas an enjoyable opening to the Pops season .
Paul Acree,THE CHRONICLE-JOURNAL,THUNDER BAY,october 16, 1995
(THUNDER BAY SYMPHONY ORCHESTRA)
“BELLY DANCE STEALS SHOW”
“Laforest conducted the concert with his usual aplomb and wit,using his not inconsiderable chops on the clarinet to emulate a snake charmer’s flute.”
Paul Acree,THE CHRONICLE-JOURNAL,THUNDER BAY, march 1997
(ORCHESTRE SYMPHONIQUE DE SHERBROOKE)
L’OSS JOUE LA CARTE DU MARKETING
Les musiciens et le chef Stéphane Laforest en ont mis plein les oreilles pour garder leur fidèle public avec eux en 2001-2002.Dans le Pizzicato polka,le chef a carrément volé le show par sa gestuelle précieuse.
Steve Bergeron,LA TRIBUNE,SHERBROOKE,1er octobre 2001
(ORCHESTRE SYMPHONIQUE DE QUÉBEC)
“QUAND MOZART PARLE AUX ENFANTS “
Le côté récréatif,c’est l’animation,à laquelle participent le chef,Stéphane Laforest , par ses commentaires appropriés et les deux mimes de Magic Circle Mime.Sur le plan musical,soulignons,le beau professionnalisme des musiciens et de leur chef ; direction claire et vigoureuse et un finale enlevant de la symphonie Jupiter de Mozart.:
(ORCHESTRE SYMPHONIQUE DE SHERBROOKE)
“LA FLÛTE AU CLAIRE DE LUNE”
“Stéphane Laforest a fait jouer le larghetto de la sérénade pour cordes de Elgar avec toute la quiétude et la finesse requises.”
Steve Bergeron , La Tribune , Sherbrooke , 27 janvier 2002
(ORCHESTRE SYMPHONIQUE DE SHERBROOKE)
‘’TROIS FOIS BEETHOVEN : TROIS FOIS BRAVO’’
La symphonie no.8 de Beethove,nous surprend par ses forts contrastes tout au long des quatre mouvements.Mais le chef Stéphane Laforest les a savamment coussinés pour qu’ils soient trop agressants.Il a aussi amorti les explosions sonores,pour qu’elles nous enveloppent au lieu de nous brusquer.
Steve Bergeron,La Tribune,Sherbrooke,17 novembre 2002
(HAMILTON PHILHARMONIC ORCHESTRA)
“HPO GETS STANDING OVATION UNDER LAFOREST”
Laforest used the Barebreiter edition for the Beethoven symphony no.7 and his reading could be classified as textbook.To his credit,Laforest was bang on each of Beethoven ‘s suggested metronome markings.It was a performance without cheap tricks .The exciting results brought the audience to it’s feet .
Leonard Turnevicius,The Hamilton spectator, 31st January 2006